Une alimentation, élaborée à partir de produits de qualité nutritionnelle contrôlée, contribue à un bon équilibre de santé. Elle permet donc également de réduire les dépenses de santé supportées par les différents acteurs publics ou privés.
Depuis de nombreuses années, voire des décennies, d’aucuns dénoncent les méfaits des acteurs du système, peu soucieux de la qualité des produits mis sur le marché, qu’ils soient agro-industriels ou distributeurs.
Les pouvoirs publics, régulièrement aiguillonnés par le monde médical, les chercheurs, les médias parfois, bref tous ceux qui dénoncent le poids de la « malbouffe », ne réussissent pas à agir pour que le point de vue de la santé s’impose en priorité.
Il appartient alors aux consommateurs eux même de s’organiser pour faire valoir ce droit élémentaire à la santé qui passe par la qualité des produits mis sur le marché.
Avec le développement rapide du monde numérique, il devient possible, avec un simple Smartphone, de lire une étiquette sur un produit et de savoir tout de suite quel est son score nutritionnel.
« Pour les consommateurs, s’emparer de ces pratiques, c’est mettre les lobbys des industriels de l’alimentation devant leur responsabilité. »
Pour le monde mutualiste, c’est au moyen de campagnes de sensibilisation et prévention, mais aussi en soutenant les chercheurs, c’est à terme, réduire le cout des ces maladies du 21e siècle. Cela concerne les atteintes à la santé dues à la qualité des produits fabriqués et commercialisés, mais cela concerne également la lutte contre les perturbateurs endocriniens, dont on commence à peine à comprendre le degré de nuisance sur la santé humaine, véritable empoisonnement, sans omettre l’impact sur tous les éco-systèmes de la planète.
Alors, il est temps, pour nous tous, consommateurs citoyens et mutualistes, de se mobiliser et mettre en marche notre « pouvoir d’agir » pour le bien de tous.
Mutuelle de l’Insee